Description
Le programme ici proposé va du premier essai d’un enfant de onze ans, An die Freude (À la joie), K. 53, composé en automne 1768, au Im Frühlingsanfang (Au début du printemps), K. 597, qui date de janvier 1791, le même jour que le Sehnsucht nach dem Frühling (Désir du printemps), K. 596, et Das Kinderspiel (Le jeu d’enfant), K. 598. Une exception, la petite cantate maçonnique allemande « Die ihr des unermesslichen Weltalls » (« Vous qui révérez le Créateur de l’univers immense »), K. 619, utilisant l’inusuel idiome voix-pianoforte et composé en juillet 1791. Que trouve-t-on au fil de ces œuvres? Partout ce même sens si précis chez Mozart de la signification conjuguée du verbe et de la musique. Aussi, un certain mélange de sérieux et d’ironie, de profondeur comme de naïveté enfantine, souvent soutenus par un sens théâtral certain.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.